Après nous être plongés ces dernières semaines dans des morceaux relativement récents, ce dimanche je vous embarque à nouveau dans un autre temps.
En effet, rendons nous en 1968 sur un album intitulé "Et puis". Sur cet album nous trouvons si ce n'est la plus belle chanson, le plus grand succès assurément de Serge Reggiani !
Alors posons nous un instant, augmentons le volume et savourons cette voix, cette musique et cette histoire, tout cela regroupé en 2 minutes et 26 secondes sur un texte de Jean-Max Rivière : "Il suffirait de presque rien".
Un texte magnifique et magnifiquement interprèté. Bien entendu, en me perdant dans les chansons de Reggiani il était difficile d'en retenir une seule pour ce chanteur qui met littéralement la poésie en musique, d'ailleurs, croyez-moi, nous aurons bientôt l'occasion de le découvrir plus en détail !
Si comme moi, ce texte vous fait imaginer une histoire, vous fait vivre des tas d'émotions, profitez de ce petit instant du dimanche soir pour commencer la semaine de la meilleure des manières, car oui, parfois, il suffit de presque rien !
Bonne écoute et bonne découverte pour celles et ceux qui découvre ce titre...
À la semaine prochaine.
-MAX-
Couplets préférés :
"Il suffirait de presque rien,
Pourtant personne tu le sais bien,
Ne repasse par sa jeunesse.
Ne sois pas stupide et comprends,
Si j'avais comme toi vingt ans,
Je te couvrirais de promesses.
Allons bon voilà ton sourire,
Qui tourne à l'eau et qui chavire,
Je ne veux pas que tu sois triste.
Imagine ta vie demain,
Tout à côté d'un clown en train,
De faire son dernier tour de piste"
Paroles : Jean-Max Rivière